En mars 2025, plusieurs réformes importantes ont été annoncées concernant la réglementation du CBD. Voici ce qui a fait bouger les lignes :

• ANSES propose un étiquetage « toxique pour la reproduction » : elle suggère que le CBD soit classé comme présumé dangereux pour la fertilité humaine, déclenchant une consultation jusqu’au 16 mai [oai_citation:0‡anses.fr](https://www.anses.fr/fr/content/propose-classer-cannabidiol-CBD-presume-toxique-pour-la-reproduction-humaine?utm_source=chatgpt.com).
• Bruxelles ouvre une procédure : la Commission européenne a relevé que la France pourrait restreindre la vente de fleurs de CBD, ce qui poserait un obstacle à la libre circulation des produits .
• Une jurisprudence favorable : la CJUE confirme depuis 2020 que le CBD extrait de chanvre légal n’est pas assimilé à un stupéfiant .
• Alignement sur l’Union européenne : la France adopte le seuil de THC à 0,3 % pour le CBD, un changement notable depuis le précédent plafond à 0,2 % .

🛠 Ce que cela signifie pour ta boutique

1. 📊 Prépare-toi à des contrôles avec CoA et analyses toxicologiques plus fréquents.
2. 🧪 Si le classement « toxique » est validé, certains produits devront être transformés ou retirés du marché.
3. 🌐 Une harmonisation européenne est sur la table — une opportunité pour rassurer et renforcer ta position.

En résumé : mars 2025 sonne le glas ou le renfort du cadre légal du CBD. Entre vigilance réglementaire et reconnaissance européenne, le secteur se transforme. L’affaire montre que privilégier la traçabilité et le sérieux, c’est rester gagnant dans la durée.